CROWDFUNDING : L’ETUDE DE MARCHE GRATUITE ?

[fullwidth backgroundcolor=”” backgroundimage=”” backgroundrepeat=”no-repeat” backgroundposition=”left top” backgroundattachment=”scroll” bordersize=”0px” bordercolor=”” borderstyle=”” paddingtop=”0px” paddingbottom=”0px” paddingleft=”0px” paddingright=”0px” menu_anchor=”” class=”” id=””][fusion_text]Chez Finamars, nous voudrions lancer un nouveau produit. On y croit fort, mais comment être sûr qu’il correspondra bien aux attentes ?

Ce qu’il faudrait, c’est une étude de marché. Une grande étude de marché, avec de vrais clients qui nous donneraient vraiment leur avis. Encore mieux s’ils pouvaient déjà commander ce nouveau produit avant qu’il n’existe.

Et si, en plus, l’étude de marché pouvait être gratuite ?

On rêve, c’est ça ?

Non, on ne rêve pas. Ca existe et ça s’appelle le crowdfunding ou l’art de détourner une technique de financement à d’autres fins.[/fusion_text][separator style_type=”single” top_margin=”” bottom_margin=”” sep_color=”” icon=”” width=”” class=”” id=””][one_half last=”no” class=”” id=””][fusion_text]

Du rêve à la réalité et de la ruche au miel… en ouvrant un robinet.

A Byron Bay (Australie), Cedar Anderson veut récolter du miel en branchant simplement un robinet sur une ruche.
Comment savoir si ce projet va marcher ?
Par le crowdfunding, bien sûr !

Hier soir, 9.800.000 $ de cash étaient déjà récoltés !! Tout en précommande, sans rien lâcher du capital. Sans investir. Belle étude de marché gratuite sur 27.000 clients !

Un robinet pour le miel et un autre pour l’entrepreneur…

Merci Indiegogo ![/fusion_text][/one_half][one_half last=”yes” class=”” id=””][youtube id=”WbMV9qYIXqM” width=”600″ height=”350″ autoplay=”no” api_params=”” class=””][/one_half][separator style_type=”single” top_margin=”” bottom_margin=”” sep_color=”” icon=”” width=”” class=”” id=””][/fullwidth][fullwidth backgroundcolor=”” backgroundimage=”” backgroundrepeat=”no-repeat” backgroundposition=”left top” backgroundattachment=”scroll” bordersize=”0px” bordercolor=”” borderstyle=”” paddingtop=”0px” paddingbottom=”0px” paddingleft=”0px” paddingright=”0px” menu_anchor=”” class=”” id=””][fusion_text]

“The Voice”, un exemple réussi de transfert de charge chez le client

Encore plus fort : avant, un producteur dépensait temps et argent pour dénicher, former, promouvoir et finalement produire un artiste, sans savoir s’il allait réellement plaire au public. Aujourd’hui, “The Voice” (pardon pour le pastiche) a renversé le modèle économique en réussissant tous les samedis un crowdfunding télévisuel qui marche à tous les coups. Vous connaissez le principe ? 64 jeunes chanteurs inconnus, déjà accrédités par 4 leaders d’opinion représentatifs de tous les publics vont s’affronter jusqu’à la terrible finale…[/fusion_text][/fullwidth][fullwidth backgroundcolor=”” backgroundimage=”” backgroundrepeat=”no-repeat” backgroundposition=”left top” backgroundattachment=”scroll” bordersize=”0px” bordercolor=”” borderstyle=”” paddingtop=”0px” paddingbottom=”0px” paddingleft=”0px” paddingright=”0px” menu_anchor=”” class=”” id=””][imageframe lightbox=”no” style_type=”none” bordercolor=”” bordersize=”0px” stylecolor=”” align=”none” link=”” linktarget=”_self” animation_type=”0″ animation_direction=”down” animation_speed=”0.1″ class=”” id=””] [/imageframe][fusion_text]

Etude de marché, marketing et vente sont désormais intégrés

Oui, mais cette fois, les phases de formation, de sélection et de promotion du futur artiste se déroulent sous les yeux du public et générent immédiatement des revenus au lieu de charges.

Ceux qui seront ensuite éliminés auront déjà généré des ressources publicitaires et les vainqueurs vendront beaucoup de disques ou joueront dans des films, sans aucun risque pour le producteur : le public aime déjà la nouvelle star qu’il s’est fabriqué sur-mesure.

On peut vraiment applaudir.

Finamars, Pierre Granchamp[/fusion_text][/fullwidth]